

ÉDITO
L’originalité des scénographies et la qualité des travaux des artistes, le temps clément, l’envie du public de renouer avec des sorties culturelles en toute sécurité, l’investissement fort des ONG et de nos partenaires publics et privés dans la communication et l’animation des expositions ont donné du souffle à la première édition de la Biennale Photoclimat. Les expositions n’ont pas désempli, on estime à plus de 5 millions le nombre de visiteurs sur l’ensemble des sites !
Je tiens à saluer le courage de nos partenaires et nos équipes, qui dans le contexte du COVID nous ont offert leur confiance dans le cadre d’une première édition. Durant la biennale, Photoclimat s’est affirmé comme un territoire de dialogue et de créativité entre les ONG, les fondations et les pouvoirs publics. De nombreux projets sont nés sous la yourte de l’Hôtel de Ville et cela renforce notre conviction que le chemin vers un futur durable passe par la créativité et la rencontre des acteurs de l’engagement.
Les projets Nuits Blanches x Photoclimat ont remporté un vif succès auprès du public et de la presse. Photoclimat installe aujourd’hui ses bureaux à l’Académie du climat, nous mettons en place un espace d’exposition et d’animation tourné vers la jeunesse et les problématiques sociales et environnementales. Nous allons ainsi poursuivre notre travail de sensibilisation à l’année. Autre symbole fort, le festival en Méditerranée à la Seyne sur Mer a trouvé son public, et des demandes affluent en France et à l’international pour la tournée de nos expositions.
Nicolas Henry